jeudi 13 mars 2008

Résultats des municipales à Moret


Elus et même super bien élus avec 76% des suffrages !!!
Sale dimanche pour les Nico and Jego Boys ...
Bilan du carnage: 3 élus pour la liste de James Cheron.
Un grand, un très grand merci à toutes les personnes qui se sont rassemblées pour voter pour notre liste Moret d'Abord...
Nous ferons tout pour ne pas les décevoir car eux ne nous ont pas déçu...

Le coup de coeur de la semaine


Précipitez-vous sur le nouvel album de "The Kills". En particulier, "Goodnight bad morning" s'adresse aux fans du Velvet, le duo nous rejoue ça façon Lou reed and Nico, un régal ... J'adoooooooooooooore

dimanche 2 mars 2008

Ne ratez pas "No country for The Old Men"


Retour en forme pour les Frères Coen, avec cette remarquable adaptation du roman de Cormac McCarthy. Entre polar lumineux et western crépusculaire, ils signent une œuvre jouissive, intelligente et déjantée, d’une beauté saisissante.

Terminator au Far-West


Quand Llewelyn découvre, au milieu des cadavres, un chargement de drogue et une mallette de grosses coupures, les ennuis commencent... La trame de No country for old men évoque diablement Fargo. En l’occurrence, ce n’est pas grave, car c’est encore mieux. Le désert remplace la neige, mais les personnages sont toujours aussi paumés dans l’immensité de décors qui leur survivront.
Psychopathe échevelé, Javier Bardem, froide machine à tuer au visage halluciné, dézingue à tout va avec sa bonbonne à air comprimé. Il incarne la marche d’un nouveau monde : implacable et sans règle. A distance respectable, Tommy Lee Jones, vieux baroudeur désabusé et nostalgique, calme le jeu et préfère attendre que ça passe. Entre les deux, Llewelyn est pris au piège. Ce va-et-vient constant entre radicalité et sagesse, action et observation, dessine la nouvelle frontière d’un Ouest sauvage où le bon vieux temps, c’était de tuer… avec certaines valeurs. Sans vraiment se moquer d’eux, les Coen, spectateurs doucement ironiques et démiurges tout-puissants, observent leurs destins ridicules, et nous rendent complices de leur inadaptation tragique. Ici et maintenant, l’humanité est une faiblesse.
Au plus-que-parfait
Mais qu’est ce vraiment que ce film noir baigné de lumière qui se déroule sur les terres du Western : s’agit-il d’un polar contemplatif ou d’une course-poursuite vaine ? D’une comédie grotesque ou d’une réflexion métaphysique sur un devenir-machine ? Peu importe. Ce qui compte c’est, à partir de ce mélange des genres et des formes, d’imposer l’idée, sans l’énoncer, de l’inéluctable marche du temps et des difficultés à en identifier les bornes. Passé (le bon sheriff), présent (le faux truand) et futur (la vraie brute), interagissent sans jamais se rejoindre. Trois histoires, trois points de vue, à jamais incompatibles. L’ellipse inattendue du règlement de compte final illustre joliment cette impossibilité de faire cohabiter, dans un même plan, des temps différents. Elle prouve également, si besoin, que les Coen mènent leur barque à leur guise et ne se soucient de nos attentes... que pour mieux les surprendre.
Bien circonscrit par le cadre du roman, leur habituel sens de l’absurde nous offre un magnifique divertissement dont la profondeur affleure avec discrétion, sans jamais ralentir ni alourdir le récit. La rencontre avec leur univers est donc non seulement réussie, mais parfaitement réjouissante. Les Coen sont intemporels et universels : leur temps, c’est le plus-que-parfait.

La rumeur ... du jour

Le futur drapeau du Kosovo pourrait arborerl'image d' un jeune garçon en train de nettoyer un pare - brise ...

Mes films fétiches en 5 secondes seulement !!!




Pour commencer, Kill Bill

dimanche 17 février 2008


Pour Sauver Sarkozy, selon Jégo, il ne reste plus que Staline
Les carottes doivent être tellement cuites que les proches de Sarkozy en sont à chercher une porte de sortie efficace. Pour le côté discret, ce n'est pas trop le souci.Un des fidèles serviteurs du grand maître de l'ordre de la Rolex et du Bling Bling, Yves Jégo (celui qui présente son blog sur une chaîne de télé mais n'en connait pas l'adresse) a ainsi été envoyé les deux rames à la main pour éteindre l'incendie dans la maison Sarkozy.

Il a donc été missionné avec quelques allumettes, qui en fait sont un lance flamme peu délicat.Que nous a dit ce grand amateur d'objectivité et de Sarkolatrie qu'est Yves Jégo ? Attachez vos ceintures de caleçon, vous pourriez faire trois tours dedans sans vous en rendre compte.Extraits de cette prose subtile et étudiée :
"C'est exactement la méthode des procès staliniens. Ce qui ne m'étonne pas d'ailleurs, venant du journal Marianne", qui "a titré il y a quelques mois 'Nicolas Sarkozy est-il fou?'", a-t-il ajouté. "Je suis pour la liberté d'expression, mais il faut décrypter l'opération".
Parmi les 17 personnalités qui unissent leur voix -sans jamais citer nommément Nicolas Sarkozy-, figurent Ségolène Royal, François Bayrou et Dominique de Villepin. Outre l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle, le président du MoDem et l'ex-Premier ministre de Jacques Chirac, le maire de Paris Bertrand Delanoë, Jean-Pierre Chevènement, le député Vert Noël Mamère ou le député souverainiste Nicolas Dupont-Aignan ont signé le texte.Dans un entretien paru samedi dans Le Figaro, Yves Jego affirme également qu'"on veut abattre le président de la République", et dénonce "une forme de complot politico-financier" et un "terrorisme intellectuel"."Il y a d'un côté ceux qui désespèrent de la gauche, et qui, n'ayant plus d'armée officielle, veulent développer une forme de terrorisme intellectuel dans notre pays", affirme Yves Jego, interrogé sur la baisse de Nicolas Sarkozy dans les sondages."De l'autre côté, viennent s'ajouter ceux qui veulent garder leurs avantages acquis et qui ont peur du changement", ajoute-t-il."Il y a là une conjonction d'intérêts inédite sous la Ve République. C'est la première fois que l'on veut 'abattre' avec tant de force un président de la République alors qu'il n'y a pas de crise politique et sociale, ni même de grèves massives", juge-t-il.
Quant à la médiatisation de la vie privée du chef de l'Etat, il estime que "c'est plus que du harcèlement, c'est une forme de complot politico-financier qui ne s'appuie sur aucune justification rationnelle".
Pour lui, "avant, la presse était de connivence avec les présidents qui mentaient sur leur vie privée. Aujourd'hui, elle semble vouloir porter atteinte à celui qui dit la vérité sur sa vie privée".
"Nous verrons si l'opération de destruction a fonctionné, mais je sens qu'une réaction est en train de se produire", affirme Yves Jego."Ce terrorisme intellectuel malveillant suscite une révolte dans l'opinion, qui n'accepte plus cette méthode de lynchage permanent ".
La technique a la mérite d'être sans aucune subjectivité ni grosse ficelle. C'est qu'à l'UMP il faut faire preuve d'un QI significatif pour avoir sa carte.
Il est amusant de voir que les reproches faits à la presse ou à d'autres politiques qui ont l'outrecuidance de dire la vérité, sont en fait construits sur le principe du miroir.
Technique bien connue qui consiste à tirer le premier en reprochant à autrui ce que l'on pourrait se voir incriminer.
Les méthode staliniennes ne sont certainement pas du côté d'un président qui faisant fi du vote très majoritaire contre un texte l'a fait passer par la petite porte avec un bras d'honneur pour la démocratie.
Les méthodes staliniennes ne peuvent pas concerner un président invitant un dictateur sanguinaire pendant une semaine, parce qu'il pourrait acheter des gadgets pour quelques milliards de dollars (d'ailleurs il ne l'a pas fait comme cela était prévu, mais Sarkozy ne s'en vante pas)
Notre omniprésent président est impuissant pour changer ce qui doit l'être. Parler de conservatisme quand on recule devant quelques taxis en colère (et les pharmaciens ? et les notaires ?) ce n'est pas un peu prendre les français pour des imbéciles ?Ces imbéciles ont une arme de destruction massive dans les mains : un bulletin de vote !


Merci à http://sarkostique.over-blog.com/ pour ses commentaires avisés.

vendredi 15 février 2008

Le gros con du jour

L'homme le plus gros du monde a perdu 230 kg

Le Mexicain Manuel Uribe, considéré en 2007 par le livre Guiness des records comme l'homme le plus gros du monde, a annoncé qu'il avait perdu 230 kg après avoir pesé jusqu'à 570 kg.

Un régime strict, avec une alimentation contrôlée et des exercices physiques réalisés sur son lit, lui a permis d'atteindre un poids de 340 kg et il s'est fixé pour objectif de retrouver son poids de forme, de 120 kg.
Manuel Uribe, 41 ans, de grande taille (1m94), souffre d'"obésité morbide" et n'est plus capable de se déplacer. Il vit, alité, dans sa maison de Monterrey , où sa mère et sa fiancée veillent sur lui au quotidien.

jeudi 14 février 2008

La pensée du jour


Dis mon Papa, c'est quoi l'UMP?


Et bien c'est cela mon petit !!!